Auteur : Neil Gaiman
Illustrateur : Chris Riddell
Illustrateur : Chris Riddell
Editeur : Albin Michel
Parution : 30 septembre 2015
Pages : 68
EAN-13 : 978-2226315540
Pages : 68
EAN-13 : 978-2226315540
À la veille de son mariage, une jeune reine décide de quitter son palais pour aller délivrer une princesse prisonnière d’un sortilège de sommeil. Elle laisse sa robe de mariée, revêt sa cotte de maille, se pare de son épée et enfourche son cheval. Entourée des nains qui l’accompagnent et la protègent, la reine traverse un tunnel sous la montagne et avance vers le royaume endormi. Bientôt, un château apparaît dans le lointain. Ses murs sont recouverts de ronces et de toiles d’araignées et, dans le donjon, repose la princesse aux lèvres rouges comme les roses. Mais qui sait, peut-être que dans ce conte-là, la princesse n’est pas celle qu’on croit, et qu’une reine donnera un baiser à une belle endormie…
L'objet livre est tout simplement SUBLIME !
Les illustrations de Chris Riddell sont magnifiques. Le trait est fluide et le choix du noir, blanc et doré, tout en contraste, a un très bon rendu. C'est un véritable plaisir pour l’œil de feuilleter cet ouvrage. Elles m'ont rappelé un de mes livres d'enfance : les contes de Perrault illustrés par Gustave Doré.
Je connais Neil Gaiman depuis longtemps et sa version de la Belle au Bois Dormant n'a fait que me conforter.
Dans cette histoire, on retrouve deux contes connus : La Belle au bois dormant et Blanche Neige. Tout s'inspire des contes de fées : les personnages avec les princesses, les sorcières, les nains, etc., les malédictions mais également le cadre médiéval.
Néanmoins, malgré ce cadre classique de conte, Neil Gaiman ne fait pas les choses comme tout le monde et ce que j'aime chez lui. Dans ce récit, les femmes prennent le contrôle de la situation. C'est la reine qui prend les armes et qui va sauver la princesse, laissant le prince dans l'attente de leur mariage. J'ai aimé cet aspect-là du récit. La femme devient un personnage fort tout en gardant sa féminité. On ne la transforme aucunement en version féminine du prince charmant.
Le twist final était, de mon avis, attendu. Néanmoins, j'ai aimé cette fin car elle donnait un nouveau souffle au conte de La Belle au bois dormant. Le choix final de Blanche Neige m'a ravi.
En bref, La Belle et le Fuseau est un conte mélangeant le classique et le moderne à la fois. C'est un joli texte accompagné de très belles illustrations. Une très belle découverte.
Les illustrations de Chris Riddell sont magnifiques. Le trait est fluide et le choix du noir, blanc et doré, tout en contraste, a un très bon rendu. C'est un véritable plaisir pour l’œil de feuilleter cet ouvrage. Elles m'ont rappelé un de mes livres d'enfance : les contes de Perrault illustrés par Gustave Doré.
Je connais Neil Gaiman depuis longtemps et sa version de la Belle au Bois Dormant n'a fait que me conforter.
Dans cette histoire, on retrouve deux contes connus : La Belle au bois dormant et Blanche Neige. Tout s'inspire des contes de fées : les personnages avec les princesses, les sorcières, les nains, etc., les malédictions mais également le cadre médiéval.
Néanmoins, malgré ce cadre classique de conte, Neil Gaiman ne fait pas les choses comme tout le monde et ce que j'aime chez lui. Dans ce récit, les femmes prennent le contrôle de la situation. C'est la reine qui prend les armes et qui va sauver la princesse, laissant le prince dans l'attente de leur mariage. J'ai aimé cet aspect-là du récit. La femme devient un personnage fort tout en gardant sa féminité. On ne la transforme aucunement en version féminine du prince charmant.
Le twist final était, de mon avis, attendu. Néanmoins, j'ai aimé cette fin car elle donnait un nouveau souffle au conte de La Belle au bois dormant. Le choix final de Blanche Neige m'a ravi.
En bref, La Belle et le Fuseau est un conte mélangeant le classique et le moderne à la fois. C'est un joli texte accompagné de très belles illustrations. Une très belle découverte.
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