Auteur : Nadia Coste
Éditeur : Castelmore
Parution : 15 mars 2017
Pages : 320
EAN-13 : 978-2362312007
Pages : 320
EAN-13 : 978-2362312007
Cassandra, jeune mage du feu, souffre depuis sa naissance d'un dérèglement hormonal qui lui rend la vie très compliquée : dès qu'elle ressent une émotion trop intense, le feu jaillit de sa peau en consumant ses cheveux, ses vêtements et tout ce qu'elle touche ! Quand elle entend parler d'une cure miracle, la jeune fille veut donc s'y rendre à tout prix. Elle va faire un voyage surprenant et périlleux à l'autre bout du royaume, dans un baquet d'eau, escortée par deux chevaliers absolument débutants, au cours duquel elle devra affronter les horribles singes-serpents et d'affreux brigands !
Même si cette lecture n'a pas été un coup de cœur, j'ai beaucoup de mal à lui trouver des défauts. Je ne sais pas si cela est dû à ma dernière déception avec Le souffle de Midas. J'ai vraiment adoré ce roman et j'ai passé un très bon moment de lecture.
J'ai énormément aimé cet univers où les éléments côtoient autant les êtres humains que les animaux. On s'y émerge très facilement. Tout au long du voyage, on découvre différent environnement dont la description m'a tout de suite intégrée dans le récit.
L'idée de base pourrait paraître peu originale. Au départ, on s'attend à pas mal de choses. Cependant, Nadia Coste a réussi à me surprendre avec ses révélations et ses retournements de situation. Certes, j'ai vu pas mal de choses arriver mais ma lecture a été très bien rythmée et j'ai enchaîné les pages avec facilité.
Seul bémol à ce récit : l'histoire des hormones qui m'a laissé quelque peu perplexe.
Je me suis beaucoup attachée aux personnages. Cassandra et sa cousine sont des personnages féminins que j'ai su apprécié même si je ne partage pas toujours leurs décisions.
Concernant les protagonistes masculins, ma préférence s'est nettement portée vers l'apprenti aventurier. Je l'ai trouvé étonnement attachant et juste dans ses émotions.
Si Nadia Coste décide de faire un second tome ou un autre roman dans le même univers, je suis preneuse !