samedi 19 juin 2021

Armelle Carbonel - L'empereur blanc

 



Auteur : Armelle Carbonel
Éditeur : Mazarine
Collection : Thriller
Parution : 17 mars 2021
Pages : 414
EAN-13 : 978-2863748602


Cinq auteurs de romans noirs se retrouvent à Crescent House, une maison isolée, érigée au creux d’une vallée perdue de l’Arkansas pour un week-end de création dans une ambiance propice à l’imagination la plus lugubre. De fait, la rumeur locale prétend qu’en 1965, un écrivain, nommé Bill Ellison, y aurait été assassiné par des membres du Ku Klux Klan. D’autres disent qu’il aurait lui-même tué son épouse avant de se donner la mort.
Alors que le week-end passe, les nouveaux habitants de Crescent House disparaissent l’un après l’autre … Une famille entière, bien sous tous rapports, est massacrée dans la ville voisine. Quel est le lien entre passé et présent, entre locataires d’hier et d’aujourd’hui – entre légende et réalité ?



Je ne me souviens pas quand était la dernière fois que j'ai lu un thriller... Grâce aux éditions Mazarine et à NetGalley, j'ai pu me remettre à ce genre et découvrir la plume d'Armelle Carbonel.

Mon avis ne sera pas très détaillé pour éviter d'en révéler trop sur l'intrigue et gâcher une future lecture de votre part.

Ce roman se compose en deux parties.
La première est un huis clos au sein de la maison. Les points de vue s'alternent et, au fil des pages, on sent l'angoisse prendre de l'ampleur. La maison, Crescent House, est un personnage à part entière. Elle est pleine de mystère.
La seconde partie fait suite à la première d'un point de vue chronologique. On fait place à une enquête policière. La tension est toujours présente, parfois de façon sournoise. Seul bémol : j'avais compris le dénouement dès la moitié du roman. Toutefois, le récit est si prenant et fluide que cela ne m'a pas empêché de dévorer cette histoire.

Ce fut donc une très bonne lecture. Ce roman n'est pas parfait mais j'ai passé un agréable moment en sa compagnie. La prochaine fois que j'aurais envie de thriller, je n'hésiterai pas à me tourner vers la plume d'Armelle Carbonel.

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